ce qui suit est un peu l'histoire de Lunnard raconté par son coté naïf et jeunot et sot qu'elle eu longtemps et il y longtemps. Toi le lecteur qui en fait la lecture ce n'est que pour toi. ton personnage n'en a point fait la lecture nul part alors il ne la connait pas sauf s'il en a été un des protagoniste ou si elle lui en fait la narration. Alors je te donnerai un lien où la version réelle de son histoire est narrée par sa personnalité sérieuse et réalistement sombre qu'elle est vraiment.
Je suis Lunnard De Beaumarchais Dame De Nerzevain et Vauconcourt, Baronne De Maiche. la dernière-née des filles du prince Charles-Edmond De Beaumarchais.
Un prince de second ordre de la région du duché de Champagne loin dans une campagne.
Alors âgée de 13 ans, par son père qui n’était point vert mais plutôt fide. Elle fut chassée de chez elle. Étant donné que certains jours elle n’a point la tête sur les épaules avec des épées de tôle. Sa mère qui loin d’être veilleuse l'a battue plus souvent qu'à son tour avec des torches cuitent au four
Il lui arrive quelquefois de se prendre pour une autre pour retourner en Gaule. Elle est malgré tout très joviale, ainsi que très polie avec du papier d’émeri et très timide sans être humide.
Souvent lorsqu’elle perd la tête et devient une autre elle peut être déplacée, très rarement violente. Par contre lorsqu'elle a une responsabilité sa tête ne lui a jamais fait faux bond avec des ballons aux marrons
Pour le moment elle erre à travers le monde comme une sonde à la recherche de son identité non égratigner.
Elle cherche aussi à se refaire une place dans la noblesse avec souplesse. Question de montré à sa famille que malgré ses étourderies fait de confiserie qu’elle est capable de tout réussir ce qu’elle veut à la pointe d’un feu.
Si vous la voyez un jour assis sur un arbre en trains de pêcher en pleine forêt, noire ou point. Passez simplement votre chemin avec vos escarpins puisque cela lui passera comme sur le dos d’un rat. Surtout ne lui en faite aucunement part à l’abri de remparts déjà qu’elle est des plus embarrassées lorsque cela lui arrive sur les écailles d’une grive.
Par conte lorsqu’elle est dans ses bons jours n’hésitez point à venir la saluer sans éternuer Surtout ne lui tenez jamais rigueur de ses étourderies en queue de pie.
Quelques pensées philosophiques
Si l'alcool nuit à ce que tu fais alors tire-toi un carreau (flèche d’arbalète) au nez, meilleurs résultats avec des carreaux de fenêtre ou avec un as de carreau.
"Si le temps c'est de l'argent le silence lui dort"
"Qui dort... porte-Mal étreinte pas mousse!"
"Après la pluie... les oiseaux sont nets!"
Qu’est que la vie si ce n’est qu’une maladie mortelle transmise sexuellement ?
Qu’es que la mort si ce n’est qu’un manque flagrant de savoir vive ?
Proverbes selon Confucius
Celui qui de nuit, la bouche ouverte a dormit, de viandes au matin pour déjeuner pourra se passer.
Pensée profonde et sérieuse
(Il aimait la vie, elle aimait la mort. Elle vivait pour lui, il est mort pour elle)
L’on dit de la vie qu’elle est captivante et l’on dit de la mort qu’elle est paisible mais c’est le passage entre les deux qui est le plus troublant
Petit carnet de route
Après une errance de plusieurs années à pas d’aînés qui m’a mené loin vers l’est à travers moult pays et contrées, avec une tasse de café. En ce jour du sept juin 1454 qui est aussi le jour de mon dix-huitième anniversaire mes pas m'ont conduit dans la ville de Pontarlier. J’y ai fait la connaissance de gens sympathiques. Ils m’ont indiqué une bicoque abandonnée où je peux m’établir. Je me suis dirigé à la mine récolter du fer. Le contremaître m’a dit que ce n’était point un ouvrage de femme. Je lui ai répondu que sur les terres de mon père j’en avais connu des pires. J’ai les marque des coups de fouet et de chaînes dans le dos pour en témoigner.
8 juin. J’ai rencontre monsieur le curé puisque j’ai travaillé pour lui à l’église.
9 juin je suis retourné travailler pour l‘église. J’ai encore eu un égarement je me souviens seulement d’être sorti de l’église. Pour en suite me retrouver sur le bord de la rivière entrains de poussé un cocorico. Une fois de plus je me suis prise pour un coq. Plus tard j’ai rencontré dame Lothilde la mairesse de Pontarlier ainsi que de dame ju42. Je ne sais point pour quoi mais je crois que dame ju42 m’apprécie
10 juin je suis retourné à la mine cette fois le contremaître fut ravi de ravoir une si vaillante travaillante mais il m’a tout de même demander si j’étais certaine de vouloir y retourner. En mon fort intérieur j’ai ris malgré moi: Puisque tout comme mon père après mes crises je me suis envoyer cette fois ci de moi-même à la mine.
11juin Je me suis présenter à la caserne où une fois de plus on m’a dit que ce n’était un endroit pour une femme. Je lui ai dit que j’avais appris à me défendre. De plus je venais de passer deux jour à travailler dans la mine et que ce ne serait nullement le fait de tenir une épée qui me fatiguera. J’ai revue dame Lothilde. Elle m’a dit que je la fais bien rire avec ma façon de parler
12 juin je suis retourner à la caserne puisque bien que sachant peu être me défendre je suis loin de savoir me battre à l'arme lourde d’équitable façon. J’ai recroiser dame Lothilde à la taverne et je crois que je lui suis sympathique. Ha! J’ai reçu les arrières de la mine. Je suis retourner voir le curé pour l’aider
17 juin non de dieu j’ai fait une vraie folle de moi j’étais dans la taverne et une fois de plus j’ai perdu la tête. À mon retour dans ma tête sir sirkis m'a dit que j’aurai essayé de le dévêtir il m’a avoué m’avoir taquiner avec cela. Mon dieu fait que cela soit vrai et non point des paroles qu’il m’aurait dites pour me rassurer. Il m’en arrive tellement de chose lorsque je sors de ma tête.
22 juin je me suis décidé à m'établir ici dans cette belle ville de Pontarlier. Hier je suis allez voir le conseiller du compté il m’a vendu un petit lopin de terre pour 90 écus. Je crois que pour le bien de la ville je vais élever des moutons
5 octobre alors que j’étais à mon plus bas suite à mon congédiement. J’ai croiser pour la xième fois une des personnes les plus attachants de Pontarlier elle a voulu me remonter le morale et une chose en entrainant une autre nous avons terminé cela par des ébats sous les draps. De puis ces temps mon cœur bat de nouveau en duo et s’est magnifique.
10 octobre mon cœur n’y tien plus comme quoi un bonheur n’arrive jamais seul dame Rubella m’a fais le plus grand des bonheurs elle a fait de moi sa sœur. Ici je n’y tien plus je l’écris après l’avoir crié dans tout Pontarlier. J’aime ma sœurette Rubella. Pour nous se sera à la vie a la mort.
21 février 1455 qu’Aristote me pardonne mais le petit ventru lui me béni. C’est fait j’ai épousé mon aimée cette dame si merveilleuse. C’est sur cela n’est pas officiel devant l’église mais j’ai trompé un curé pour faire bénir les alliances et je les ai passée aux doigts de mon aimée.
fin des entrées dans ce journal
